Jean-Louis Simonin
La lecture de votre ouvrage m’a passionné au plus haut point.
J’ai été attristé par la découverte de ce monde impitoyable des enfants traités comme des pestiférés et oubliés (rejetés ?) des responsables politiques et des nantis, qui à l’époque l’étaient plus que maintenant telle la différence était grande entre le peuple et eux.
Que de magouilles autour de cet hospice où chacun tente de jeter la patate chaude à son voisin, tout en faisant mine de participer. Les préfectures, les départements, les communes en se rejetant les bébés, sans mauvais jeu de mots, ont des attitudes bien proches au XIXe siècle de celle du XXIe siècle.
Dans la 2ème partie (P 131 à 154) l’énumération des cas "improbables" mais en fait bien réels me laisse pantois !