Pierre Gouletquer
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
Je viens de dévorer ton livre, d'une seule traite !
Quel plaisir de retrouver ton écriture alerte et si sincère ! j'ai apprécié l'énorme travail que cela a représenté de débusquer tant d'anecdotes.
Je ne peux pas dire que cela me rappelle des souvenirs car lorsqu'à 17 ans j'ai commencé à aller aux bals de noces chez Dilosquer ou chez Kerloc'h, les mères de nos copines étaient là pour surveiller leurs poulettes. Pour éviter que les pieds de celles-ci soient piétinés elles nous apprenaient vigoureusement à danser la valse, le tango et le paso-dobble (orthographe?) en respectant l'écart des 25 cm réglementaires. Les épaules droites et souples. Et je n'ai jamais aimé les boîtes de nuit, trop bruyantes.
Je me suis régalé en connaisseur des illustrations de Jean-Marie Misslen. Ses dessins s'intègrent parfaitement au texte, rendant l'ensemble très agréable. Ton livre doit avoir du succès.
Bon ! Ne t'inquiète pas pour le Paradis. Comme disait un philosophe dont j'ai oublié le nom, « le Paradis c'est ici et maintenant ». Ton paradis personnel est dans le plaisir qui éclaire ton écriture elle-même autant que dans la recherche qui la précède. Mes amis Libertaires ne se seraient jamais aventurés sur un tel terrain où l'actualité étale l'impudeur des soutanes.
As-tu rendu visite au gisant de ton héros ? Ça serait marrant qu'il se lève pour t'écraser d'imprécations !
Vade retro Satanas !
Dominique Bouchaud
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
Encore un ouvrage truculent. J'ai beaucoup apprécié "l'humour" du prologue
Louis Le Floch
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
Alain Kerviel
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
J'accuse bonne réception de votre livre il y a environ deux semaines.
Livre dans lequel j'ai immédiatement plongé et dont je viens d'en finir la lecture.
Je vous remercie pour cette évocation, ô combien illustrée, des tribulations des religieux au pays de la danse.
La vie est une perpétuelle évolution toujours prise entre des antagonismes.
Merci encore
Jean-Pierre Kerfriden
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
J'ai lu votre livre d'une traite. Passionnant.
Pauvre monseigneur, il a beaucoup fait pour éloigner les fidèles et vider les églises par son attitude.