Michèle Tavernier
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
Je vous confirme avoir lu votre dernier ouvrage
"L'EVEQUE ET LES DANSES KOF A KOF" avec beaucoup de plaisir. Je ne sais pas s'il s'agira vraiment de votre dernier ouvrage,
en tous cas celui-ci est une vraie réussite.
C'est très vivant et les personnages sont très bien campés.
Mais quelle époque !
Je ne pensais pas que le Clergé avait mis autant de "bâtons dans les roues" à tous ces Chrétiens... Ce" pauvre évêque" Mgr DUPARC était totalement obsédé...
Heureusement que les choses ont bien changé,
en tous cas sur cette terrible intolérance. J'ai apprécié la fluidité de votre texte et l'illustration couleur,
ainsi que la mise en page : tout cela joue un grand rôle. Toutes mes félicitations à vous, et à Jean-Marie MISSLEN ;
vous faites une belle équipe. Merci pour votre aimable dédicace.
Dany et Yvon Merrien
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
Nous avons bien reçu le livre et l'avons lu avec délectation
Cet ouvrage abondamment documenté est facile à lire.
Il est de plus très bien écrit et avantageusement illustré.
Ce pan de l’histoire de l’Église intégriste a également concerné
dans une moindre mesure notre génération.
Annick Le Douget, écrivain
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
Pierrick nous gratifie d’un livre savoureux, superbement illustré par le talentueux Jean-Marie Misslen, un livre collector ! Son étude donne matière à réflexion, d’une part quand on mesure la force des interdits religieux d’une époque assez récente, et d’autre part quand on découvre un Mgr Duparc si peu soucieux d’éviter une rupture irréparable avec les jeunes générations finistériennes…
Centre généalogique du Finistère. Numéro 168. Décembre 2023
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
Pierrick nous gratifie d’un livre savoureux, superbement illustré par le talentueux Jean-Marie Misslen, un livre collector ! Son étude donne matière à réflexion, d’une part quand on mesure la force des interdits religieux d’une époque assez récente, et d’autre part quand on découvre un Mgr Duparc si peu soucieux d’éviter une rupture irréparable avec les jeunes générations finistériennes…
Colette Boulard
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof