Centre généalogique du Finistère. Numéro 168. Décembre 2023
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
Pierrick nous gratifie d’un livre savoureux, superbement illustré par le talentueux Jean-Marie Misslen, un livre collector ! Son étude donne matière à réflexion, d’une part quand on mesure la force des interdits religieux d’une époque assez récente, et d’autre part quand on découvre un Mgr Duparc si peu soucieux d’éviter une rupture irréparable avec les jeunes générations finistériennes…
Colette Boulard
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
Pierre-Yves Raphalen
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
Un seul qualificatif : exceptionnel !!!
Par contre la diffusion de vos illustrations,
magnifiques par ailleurs,
voue à jamais votre âme à l’enfer...
Charlie Nogrel
Au sujet des Exposés de Creac'h-Euzen
La lecture de votre livre "Les exposés de Créac'h Euzen" m'a beaucoup appris et tout autant ému: il est rare de toucher du doigt cette misère sociale du 19ème siècle que vous avez su si bien restituer (on est loin du "bling bling" du Paris haussmannien !).
La première partie, plus historique et néanmoins si concrète, mériterait (à mon humble avis de non-historien) une reconnaissance universitaire !
La deuxième partie, avec ses personnages attachants ou repoussants, vaut largement les romans que vous évoquez dans votre introduction !
Quant aux 3e, 4e et 5e parties, il serait sans doute très utile à la communauté des généalogistes de mettre toutes ces données individuelles en ligne (sauf , bien sûr, s'il y a une nécessité de protéger les droits de son auteur ...).
Vraiment bravo pour cet ouvrage sans équivalent (que je sache).
Jean-Pierre Le Baccon
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
Félicitations pour votre travail et bravo pour les illustrations, en particulier celle de la page 41.
Au deuxième chapitre, à la page 26, vous relatez les événements se déroulant en 1924 au café Flatrès situé dans la campagne de Nizon (fusionnée actuellement avec Pont Aven) précisément au lieu dit Kerigazuel.
Ces événements tragiques concernent cette famille, expliquent pour moi l’appellation « l’Enfer » donnée à ce café, je pense, par le voisinage. Ce nom n’apparaît pas au recensement de 1921 mais il est présent dans celui de 1926 et il est resté depuis, sauf pendant une courte période où il est devenu « café de l’Aven ». L’écrivain Xavier Grall qui le fréquentait y avait consacré un article dans le journal « Le Monde » en 1979.
Enfin au sixième chapitre page 88, vous faîtes allusion au bal clandestin se déroulant en juin 1942, près de la Trinité en Melgven. Les Allemands y blessent les deux sœurs Moysan, Jeanne et Euphrasie. Cette dernière a du être amputée d’une de ses jambes. Ces événements ont profondément marqué les Melgvinois.