Daniel Laonet
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
Pierrick Chuto écrit sur l’interdiction des bals prononcée par un évêque. C’est un travail sérieux sur l’histoire de la société finistérienne et la gestion des âmes. On apprend que pour cette interdiction il existe des punitions, ainsi des mesures vexatoires pour les cérémonies religieuses touchant les fautifs.
Les témoignages de la presse dans le débat établit aussi une frontière de la morale entre la droite et la gauche. Je voudrais comprendre cette morale folle. La société ne prenait-elle pas en compte les conséquences des débordements ?
Cette mesquinerie, vue positivement, serait aussi une prévention des grossesses hors mariage. Il faudrait connaître l’opinion fondamentale des familles. Plus de vingt-cinq mille personnes ont assisté aux obsèques de l’évêque.
Ce chiffre amène la question un peu différemment que de l’angle pris dans le livre : quel est le fond de la mentalité de la société finistérienne prise comme un tout ?