Michel Floc'h
Au sujet de L'évêque et les danses Kof ha Kof
Chacun de vos paragraphes (ou des illustrations de Jean-Marie Misslen) se suffit à lui-même.
Je me demande toujours comment vous faîtes pour compresser une histoire de cette manière.
Avec la pointe d'humour ou le clin d'œil qui va bien avec...
Trop fort !
Chaque fois que je reprends l'ouvrage, je l'ouvre au hasard : c'est toujours bien.
Et en plus le papier de bonne qualité a quelque chose de sensuel.
Ne serait-ce pas déjà une invitation à un premier pas (de danse) vers l'Enfer ?