Jean Luc Deniel

Au sujet de "Du reuz en Bigoudénie"

 

Ce  livre se révèle fort attrayant, plaisant à lire, voire instructif

par certaines anecdotes, pas forcément connues.

Par votre clairvoyance et, je pense, votre goût du travail bien

fait, vous avez su trouver le récit approprié et, par une note

franchement amusante, mettre un point final "à la saga" de vos 

précédents ouvrages. Je vous en félicite.

Quant à l'abbé Jézégou, à l'écoute de ses ouailles, je le ressens 

comme un observateur quelque peu fouineur, d'une plume 

redoutable, d'une éloquence à toute épreuve, parfois comique, mais

se dévoilant assurément comme un précurseur de notre célèbre Don Camillo.

Jacques Sallé, directeur d'école E.R, auteur du blog ancrehistoire.fr

Au sujet de "Du reuz en Bigoudénie"

 

J'ai  lu votre dernier ouvrage, toujours aussi intéressant. 

En effet il est difficile d’envisager de pareilles aventures locales… que l’on imagine aussi nationales. Heureusement que le ridicule ne tuait pas (et ne tue toujours pas) car il aurait fait (et ferait) des milliers de morts !
Votre livre, sur une époque révolue, nous permet de comprendre que, finalement, rien n’a véritablement changé. 
Pas très encourageant pour la nature humaine pour qui la notion de tolérance a beaucoup de mal à évoluer.

 

René Le Reste

Au sujet de "Du reuz en Bigoudénie"

 
On dirait que c'est tiré d'un ancien film,  une  sorte de " Don Camillo " , tant les propos sont musclés entre les différents personnages.
 
Bravo pour ce récit d'une autre époque, pas si lointaine. Ce n'est  pas un roman à suspense, mais facile à lire et intéressant .
J'ai bien aimé. 
 

Jean-Louis Godet

Au sujet de "Du reuz en Bigoudénie"

 

J'ai beaucoup aimé votre"du Reuz en Bigoudénie". Quelle époque et surtout de quelle façon vigoureuse la commune bicéphale, paysans d'un côté, marins de l'autre, a vécu dans sa chair et son âme ardente le combat déclenché par les lois Combes, et autres,  plus tard. Lointain écho à la guerre que provoqua dans la Vendée, (que les révolutionnaires qui l'ont "infernalement" martyrisèe, baptisèrent "Vendée-vengé"), l'instauration de la constitution civile du clergé.

Votre chronique, qui couvre la IIIème République, montre admirablement ce que cette région de France a eu d'exemplaire; et vous le montrez en donnant les faits, sans idéologie, dans le respect du lecteur.S'en détachent bien sûr des personnages hauts en couleurs comme ce fameux recteur Jézégou, mais aussi l'instituteur-secrétaire de Mairie (à l'épouse pittoresque) que j'ai vu moi comme un ordonnateur de basses oeuvres, plutôt qu'un vrai républicain laïc. Et le saint curé de Lesconil!Et le temps, et la guerre, ont fait leur oeuvre, peu à peu.

Merci Monsieur pour ce livre tonique.

 

Pierre-Yves Raphalen

 

Au sujet de "Du reuz en Bigoudénie"

 

Ce bel ouvrage, étayé de recherches fouillées et rigoureuses,

d’une impartialité jamais prise en défaut,

mérite une lecture attentive et procure bien du plaisir.

 

Ce retour dans un passé troublé encore proche

reste avant tout un message d’optimisme pour l’avenir

quand on constate que des antagonismes aussi marqués

peuvent s’estomper avec le temps,

au point de sembler aujourd’hui dérisoires

pour une majorité d’entre nous.


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