Evelyne Tricot-Picquart
Quel magnifique (et laborieux, sans aucun doute!) travail vous avez fait!
Redonner vie à partir d'archives à tous ces gens, leurs grandeurs et leurs petitesses m'ont intéressée et captivée au plus haut point. Merci!
La plupart d'entre eux ont été frères et sœurs de misère et nous aujourd'hui, en quelque sorte, nous sommes cousins de mémoire. Je n'aurais sûrement pas votre courage ni votre opiniâtreté, mais quand ma vie me laissera un peu de temps je continuerai à faire sortir de sa nuit celui qui pour moi n'a été qu'un météore dans la mesure où ce nom: Oxomen, point de départ de toute ma curiosité et de toutes mes questions n'a existé que 46ans plus les 16 ans de sa fille, ma grand-mère maternelle.
Merci pour votre disponibilité. Bon courage pour le travail que vous avez en cours.

 

 

Nicole d’Araquy

Continuez de nous instruire sur la véritable histoire qui nous intéresse: celle de gens qui nous ont précédés et de leur vie avec souvent ses grandes peines et ses petites joies. J'ai "dévoré" votre livre, et des visiteurs que je croyais moins intéressés que moi par ces sujets, s'y sont plongés avec curiosité et satisfaction tant le l'objet en est original et inédit. Je vous souhaite tout le succès que votre immense travail de recherche mérite.

Thérèse Blanc-Caugant

Votre livre m’a apporté l’émotion que j’en attendais : évoquer tous ces petits abandonnés, imaginer la détresse des mères serre le cœur. Au-delà de ça j’ai beaucoup appris sur l’histoire de l’hospice et sur tout ce qui s’est mis en place autour de ces enfants. On n’imagine pas que tout ait pu être si compliqué.

Les « parcours » que vous avez choisi de développer se lisent avec curiosité. Quels destins !

Tout cela m’a bien sûr remémoré ce que j’ai pu voir sur le même sujet aux archives de Rodez : les enfants confiés à des familles d’accueil et « rendus », car trop malingres ou toujours malades, ou ne rendant aucun service. On demande un échange, pour voir si on tombera mieux, car, quand même, il ne faudrait pas perdre l’allocation qui va avec l’enfant de l’Assistance !

Ensuite dans les listes, j’ai cherché à repérer les noms et lieux que je connais. (Samuel OUVANS / OUVRANS, par exemple dont descend une de mes cousines germaines ; Julie BLIOUX aussi ascendante d’une de mes cousines.

Enfin, j’ai fait de votre ouvrage un outil pour mes recherches sur Elliant : nombre de ces enfants sont cousins par alliance des adhérents GCHC. Grâce à vous, j’ai pu apporter quelques compléments à notre arbre.

Marie-Agnès Bailly

Votre livre, très intéressant, montre bien la vie de ces pauvres enfants au XIXe siècle. Vous avez bien montré la difficulté de surveiller les enfants en nourrice.

Je m'intéresse aux enfants abandonnés car mon mari en a deux dans sa généalogie sur lesquels je n'ai pas grand-chose. L'un a été trouvé à Lamballe en 1810 et l'autre à Marseille en 1786. Votre livre m'a permis de connaitre un peu mieux Le Finistère sur lequel je n'ai pas beaucoup de  connaissances. Merci.

 Isabelle Le Boulanger

Auteur de l’Abandon d’enfants.  L’exemple des Côtes-du-Nord au XIXe siècle.

 Je suis bien contente que mes travaux vous aient donné l'envie d'écrire ce livre. Le thème de l'abandon d'enfants est passionnant et met en lumière non seulement la profonde misère du Finistère au XIXe siècle mais aussi les mentalités intransigeantes de l'époque à l'égard des filles-mères. Vous avez su, grâce à votre travail rigoureux, relater l'histoire des petits abandonnés avec humanité et de manière abordable pour le grand public. Tous les aspects de la question sont traités de manière attrayante entre billets pathétiques laissés sur les enfants, patronymes attribuées à la va-vite par le personnel de l'hospice et nourrices sans compassion pour les enfants qu'elles élèvent. Que d'heures passées aux archives! Félicitations!

 

 

 


Association de Saint Alouarn Copyright © 2013. Tous droits réservés.

connexion