André Tymen

Je vous transmets mes premières impressions :
D’abord un étonnement admiratif devant la quantité et la qualité de vos recherches.
Ensuite, j’avais bien quelques notions sur le sujet, mais vous m’avez appris beaucoup de choses.
Je ne peux que vous féliciter pour ce travail et j’attends les résultats de vos prochaines recherches.

Catherine Jacquart

On ne peut qu’être élogieux à l’égard de ces religieuses dévouées et de ces préposés à l’enfance qui essaient de contrôler tant bien que mal les familles nourricières. Ils contribuent aux balbutiements de l’Assistance publique actuelle.

Pour nous, Bretons Finistériens, issus de l’immigration de nos parents, vers le milieu du 20e siècle, c’est une chance inestimable que d’avoir en vous un écrivain historien, qui relate la vie, les faits divers et les coutumes de nos ancêtres et nous transporte sur leur terre en Basse Bretagne.
Dur  labeur que la transcription de tous ces enfants abandonnés. Elle fera le bonheur de nombreux généalogistes amateurs qui seront ravis de découvrir un de leurs ancêtres. Je vous en remercie.

 

 

 

Hervé Jaouen

Extrait d'un courrier d'Hervé Jaouen, romancier

Je n'ai jamais écrit sur les "exposés".
J’ignorais même qu'avait existé ce "tour de dépôt" sur les hauteurs de Gourmelen: Creac'h-Euzen, la colline/butte de l'horreur/ de la monstruosité.
Votre livre m'a été conseillé par un ami. Il a pensé que le sujet intéresserait le romancier. Effectivement, il titille l'imagination. Peut-être écrirai-je un jour une scène d'exposition, qui ferait un beau premier chapitre ?
Ce jour-là, s'il vient, votre livre me sera précieux. Formidable de précision, il est passionnant.
J'admire les auteurs comme vous, klaskerien ar sonjoù, quêteurs de mémoire. Affronter des montagnes d'archives, je n'en aurais pas le courage.
Ceci dit, l'imaginaire emprunte toujours les chemins d'une quelconque réalité que le romancier triture à sa façon.
Continuez vos travaux, ils sont remarquables.

 

 

 

Geneviève Hypolite :

Le livre de Pierrick Chuto m’a permis de reconstituer les premières années de la vie de mon ancêtre et de répondre à bien des questions que je me posais.
Quel début de vie pour ces petits … à peine baptisés et confiés aussitôt à des parents nourriciers. En final, peut-être une bonne chose quand on voit le peu de moyens accordés à l’Hospice et surtout le peu de cas que l’on faisait de ces enfants ! Il fallait encore qu’ils soient résistants et qu’ils aient la chance de tomber dans une bonne famille qui ne les laissait pas dormir dans la boue !
Pierrick Chuto a dressé une liste impressionnante et documentée de ces enfants déposés à l’Hospice, dans laquelle sont cités de nombreux patronymes des communes avoisinantes. On y retrouve notamment les parents nourriciers, les patrons/artisans des enfants placés en apprentissage. J’ai ainsi découvert que le village où s’est fixé mon aïeul était un foyer nourricier !
Un livre passionnant, à "exposer" dans sa bibliothèque !

 

 

 

 

Yves Calloch

Je suis en train de lire vos deux livres en parallèle; j'ai presque terminé Le Maître de Guengat et je suis à la moitié de la Terre aux sabots. Je les trouve intéressants en ce qui concerne la description des mœurs et la vie politique au niveau communal, avec des rappels aux événements nationaux; ils sont très bien documentés.
D'autre part, bien qu'il s'agisse de vos ancêtres, vous semblez être resté objectif concernant les traits de caractère des uns et des autres.
L'écriture est fluide, ce qui facilite la lecture. Je pense avoir terminé à la fin de la semaine mais, d'ores et déjà, je peux vous dire ma satisfaction pour ces acquisitions et j'attends avec impatience votre prochaine parution.

 

 

 


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