François Praver

Voilà je viens de terminer de lire votre ouvrage avec beaucoup de bonheur. Bravo et merci pour la qualité de vos recherches sur ce sujet dont j'ignorais presque tout avant de le lire. Je connaissais un peu
L’histoire de mon arrière-grand-père mais j'ai vraiment découvert cette réalité des enfants trouvés avec votre ouvrage. Pour tout vous dire il se disait dans ma famille que notre patronyme venait du lieu où il avait été trouvé : dans un pré vert devenu par déformation Praver. Or il n'en est rien puisque comme vous le dites dans votre ouvrage tous les enfants trouvés de l'année 1857 ont eu un patronyme commençant par P. Ceci étant, on l'a échappé belle si j'en juge par certains patronymes dont ont été affublés certains enfants.
J’ai été aussi très choqué par les déplacements d'enfants, la double peine en quelque sorte ! 
Je ne manque pas de conseiller la lecture de votre ouvrage à toute ma famille et quand je retournerai en Bretagne et à Quimper en particulier, j'irai en pèlerinage sur les lieux que vous mentionnez dans votre ouvrage

 

 Martine Riou

Voici de manière générale mes remarques quant à votre étude.
Il s'agit effectivement d'un sujet assez particulier et certainement assez peu étudié.
Au-delà des informations concernant Quimper et chaque cas particulier proprement dit, vous avez aussi rassemblé des indications concernant de manière plus générale la situation des enfants exposés en rappelant les aspects législatifs, la situation économique et sociale en Cornouaille, le choix des prénoms et patronymes, les vêtements que portent les enfants, les billets...
Comme les inventaires après décès dont les généalogistes sont si friands, tous ces éléments permettent de mieux appréhender la vie de l'époque.
Pour toutes ces raisons, votre livre est très intéressant.

 

 Corinne Mazo
J'ai terminé la lecture des "Exposés de Creac'h-Euzen" : vraiment un formidable travail, très documenté (je vois derrière les kilos d'archives exploités !!)
C'est un beau livre !  C'est étonnant ce grand nombre d'enfants abandonnés dans le Finistère, par rapport aux départements voisins, notamment les Côtes d'Armor.
Et la mortalité !! Toute cette misère humaine..
Bravo  et merci pour ce beau et émouvant document !

 

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 Jean-Philippe Gloaguen

J'ai terminé votre livre avec regret l'autre jour car il m'a vraiment beaucoup plu. J'y ai retrouvé les mêmes qualités qu'il y avait dans vos 2 précédents ouvrages.
J\'attends donc avec impatience le volume III des aventures des Chuto!
Ça se lit vraiment comme un roman, pas le temps de s'ennuyer. Je n'aurai jamais pensé que l'abandon des bébés aurait concerné autant d'enfants. Peu s'en sont vraiment sortis.
C'est bien de votre part d'avoir étudié cet aspect de la vie au XIXe siècle et je ne trouve que des qualités à votre travail.

 

 

 Claude Le Bellac

Votre livre est très documenté, très intéressant et très bien écrit. Il y a énormément de choses et pourtant il se lit très bien d'un bout à l'autre.
C'est une image de la vie au 19e; j'espère qu'elle n'était pas aussi dramatique pour tout le monde mais j'imagine très bien le grand-père de mon grand-père dans cette misère avec 2 de ses 4 enfants morts en bas âge.
L'histoire du "tour", que je ne connaissais pas, m'a beaucoup intéressé ainsi que le crime du moulin de Lenn-Du.
Les descendants de l'enfant trouvé Guillaume-François Bellac ont bien prospéré puisqu'on y compte 2 normaliens de Normale Sup et un polytechnicien; c'est pas mal sur 50 individus descendants d'un enfant trouvé!

 


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