Claude Le Bellac

Votre livre est très documenté, très intéressant et très bien écrit. Il y a énormément de choses et pourtant il se lit très bien d'un bout à l'autre.
C'est une image de la vie au 19e; j'espère qu'elle n'était pas aussi dramatique pour tout le monde mais j'imagine très bien le grand-père de mon grand-père dans cette misère avec 2 de ses 4 enfants morts en bas âge.
L'histoire du "tour", que je ne connaissais pas, m'a beaucoup intéressé ainsi que le crime du moulin de Lenn-Du.
Les descendants de l'enfant trouvé Guillaume-François Bellac ont bien prospéré puisqu'on y compte 2 normaliens de Normale Sup et un polytechnicien; c'est pas mal sur 50 individus descendants d'un enfant trouvé!

 

Annie Louet

J'ai commencé à dévorer votre livre : chaque page est si riche d'informations que j'ai du mal à m'en décrocher... Quel travail colossal vous avez dû abattre pour récolter toutes ces infos, puis les mettre en page... A cette heure, j'en ai lu une bonne moitié et je ne m'en lasse pas.
Merci, merci pour cette mine de renseignements. Née à Quimper, je suis d'autant plus intéressée par tout ce qui a pu s'y passer dans les siècles précédents.

 

 Maryse Schreiner

Les deux premiers livres de Pierrick Chuto avaient montré le sérieux de ses recherches.
Cette fois encore je n’ai pas été déçue.
Tous les généalogistes ont entendu parler de ces enfants déposés à  Quimper. Pierrick Chuto a su exploiter toutes les ressources possibles par de longues visites aux Archives du Finistère, Archives Municipales et Départementales, archives de l’évêché de Quimper, les mairies et la base de données Récif que rassemblent les bénévoles du Centre généalogique du Finistère.  En historien passionné, il n’a rien inventé et nous livre de nombreux détails sur l’histoire et le personnel de l’hospice, le tout lié à l’histoire de Quimper et de sa municipalité, sans oublier les lois promulgués par les dirigeants de l’époque.
Tout se trouve documenté au fil des pages, les vêtements ou hardes que portent les enfants déposés, le nom dont ils sont affublés, leur placement chez des nourriciers pas toujours honnêtes. Quand ils ont de la chance, ils peuvent y rester et apprendre un métier. Beaucoup décèdent très jeunes. Pour d’autres, les recherches ont permis de retrouver parfois leurs mariages et même leur descendance, preuve qu’ils s’en sont sortis et ont peut-être connus des moments de bonheur !
Certains finiront dans la criminalité, Pierrick  le relate dans son livre.
Que de détails rassemblés !
Ce qui ne gâte rien, le livre est très agréable à lire et j’en recommande la lecture.

 

Jacques Joncour

J'ai lu d'une traite votre livre hier.
Bravo ! Vous avez su rendre attrayant un sujet austère.
J'ai tout découvert sur un domaine où je ne connaissais absolument rien.
Et, en arrière fond, voir la misère épouvantable de nos régions au XIX° siècle. Et on se plaint parfois...
 Merci pour ce plaisir de lecture.

 

 Marie-Thérèse Jaouen

J'ai bien reçu votre ouvrage.
J'ai lu avec intérêt les deux premiers d'autant que ceux-ci concernaient des branches de ma généalogie, les Thomas, et que, de ce fait, une grande partie de la vie de mes ancêtres s'en est trouvée éclairée.
J'ai beaucoup aimé votre style, le sérieux de vos recherches, la façon dont la vie des communes et de  leurs habitants  s'est trouvée impactée par les  décisions parisiennes. Tout est émaillé de détails dont on ne se lasse jamais. Je suis accro à ce genre de lecture, j'ai déjà bénéficié de la lecture d'un ouvrage d'un autre généalogiste concernant une branche costarmoricaine de mon arbre, je l'avais trouvée passionnante, mais au regard des vôtres je la trouve moins détaillée.
Vos travaux sont particulièrement riches et vous possédez le rare don de rendre les personnes évoquées si vraies qu'on  ressent combien vous vivez l'époque et les faits que vous décrivez.
Continuez à nous enchanter et à nourrir nos connaissances.
Votre définitivement fan

 


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