Annie Barbier

Au sujet de Bien aimée Marie Anne

 

Je viens de terminer la lecture de « Bien aimée Marie Anne ». Merci pour ces quelques heures agréables qui m’ont transportée dans la région de ma famille, (Quimper, Penhars, Plogonnec….). Vous pouvez être très fier de vos arrières grands-parents, romantiques, volontaires, courageux, et ambitieux.

Ce retour au XIXe siècle nous laisse constater que les problèmes municipaux de gestion ou de politique en général ressemblent beaucoup à ceux que nous connaissons toujours à notre époque.

Annie Barbier

Au sujet de Bien aimée Marie Anne

 

Je viens de terminer la lecture de « Bien aimée Marie Anne ». Merci pour ces quelques heures agréables qui m’ont transportée dans la région de ma famille, (Quimper, Penhars, Plogonnec….). Vous pouvez être très fier de vos arrières grands-parents, romantiques, volontaires, courageux, et ambitieux.

Ce retour au XIXe siècle nous laisse constater que les problèmes municipaux de gestion ou de politique en général ressemblent beaucoup à ceux que nous connaissons toujours à notre époque.

Lydia Lamande

Au sujet de "Bien aimée Marie Anne"

J'ai bien reçu hier votre livre et dans la foulée je l'ai lu . Il m'a énormément plu . C'est  une très jolie histoire que celle de vos ancêtres. Les dessins de fleurs sur les lettres sont magnifiques, avez vous été obligé d'en raviver les couleurs ou sont elles authentiques.
j'avoue que c'est impressionnant

Christian de la Hubaudière

Au sujet de Bien aimée Marie Anne

 

Avec ce joli recueil bien illustré, Pierrick nous fait entrer dans l’intimité de deux ancêtres qu’il chérit et, au-delà, nous décrit cette vie paysanne d’un temps révolu, mais qui a marqué et construit la Bretagne d’aujourd’hui.

Pourrait-il aussi bien la décrire s’il n’aimait pas autant ses personnages ? Cet ouvrage, qui honore leur mémoire et décrit tout autant la vie de nos aïeux, constitue une synthèse de ses recherches en archives, dont il nous a fait bénéficier tout au long de ses livres précédents.

Pourrait-il nous régaler de cette histoire d’amour, s’il n’avait pas l’amour de l’histoire ?

Je viens de terminer avec délectation ma lecture d'été 100/100 écrite de votre main . Après hors-la-loi en Bigoudénie que 

vous aviez eu la gentillesse de me dédicacer , j'ai poursuivi avec du Reuz en Bigoudénie puis Le Maître de Guengat et pour finir ces jours derniers par La terre aux sabots .
Quel réel plaisir de se plonger dans ces époques lointaines et souvent troublées mais dont vous faites une narration si proche qu'on a l'impression d'un vécu bien réel .
Bravo !


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