Je viens de terminer avec délectation ma lecture d'été 100/100 écrite de votre main . Après hors-la-loi en Bigoudénie que 

vous aviez eu la gentillesse de me dédicacer , j'ai poursuivi avec du Reuz en Bigoudénie puis Le Maître de Guengat et pour finir ces jours derniers par La terre aux sabots .
Quel réel plaisir de se plonger dans ces époques lointaines et souvent troublées mais dont vous faites une narration si proche qu'on a l'impression d'un vécu bien réel .
Bravo !

Colette Boulard

Au sujet des Exposés de Creac'h-Euzen

 

Je suis allée jusqu’au bout de la lecture : livre impossible à lâcher !

 J’ai eu un peu de mal, au début, avec l’organisation des différents chapitres, puis l’ai comprise. Ici, sans avoir tout lu finement, notamment  chaque notice concernant les nombreux enfants listés et suivis,  j’ai lu l’ensemble de l’ouvrage et j’y ai beaucoup appris.

Je sais que j’y reviendrai ponctuellement car l’étude vraiment intéressante mérite  la relecture pour mémorisation plus approfondie de sujets. Celle-ci est aidée, justement, par les thèmes des chapitres. Le suivi de quelques adultes et gestionnaires clefs est des plus instructifs, mettant en lumière le contexte de l’époque et du lieu.

Par suite, et avec le décalage qu’il faut néanmoins garder, ce travail éclaire sur ce qu’ont pu vivre d’autres hospices, ailleurs, tout au long du XIX ème siècle.

 Voilà. Je voulais vous redire mon intérêt, une fois achevée  la lecture de votre livre

Patrick Belly

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

je viens de finir votre livre.
N'étant pas un grand lecteur, celui-ci me convient par ses courtes histoires.
Bravo pour la recherche et la transcription de celles-ci.On vit chaque récit.

Colette Boulard

Au sujet des Exposés de Creac'h-Euzen

 

J'ai commençé à lire  « les exposés de Creac’h - Euzen » , l’ayant récemment acquis. J’avais un peu hésité, ayant vu aux archives départementales girondines une très intéressante expo qui abordait ce sujet.Qu’apprendrai-je de plus ?
Et bien, j’apprends encore dans ce livre remarquablement informé, bien écrit, sérieux sans être pour autant austère : c’est passionnant et impressionnant.
Quimper est loin, très loin du Quimper actuel et la vie était d’une grande âpreté. La ou plutôt les descriptions successives, au fil des ans, concernant le cadre de vie, ou plutôt de survie des enfants exposés, et de tous ceux que la misère amenait à l’hospice sont à la fois intéressantes et effrayantes.
Parallèlement Pierrick Chuto montre le dévouement et l’humanité de nombre d’intervenants. Le récit, dont les sources sont données, est riche d’humanisme.
Le format de l’ouvrage ni son poids ne permettent de l’emmener dans son sac ni de le lire dans les transports en commun, mais son attractivité va me le faire lire jusqu’au bout, ou presque : même si elles sont toutes intéressantes, je ne lirai pas l’exhaustivité des notices individuelles de chaque enfant évoqué. Quel boulot vous avez fait, Pierrick !

 

Catherine Delahoche

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

J ai lu votre livre avec grand plaisir et grand intérêt. J'ai beaucoup aimé la "vie" dont vous avez su étoffer vos personnnages, en le situant dans leur milieu, leur famille, dans leurs travers. Cela rend les récits très vivants et très humains, au delà des simples transcriptions de faits divers, tels que les registres et sans doute les journaux d'époque peuvent les condenser.

Je pense que vous avez du partir de faits divers parus dans les journaux d'époque , mais après, comment avez vous fait ce travail de journaliste ? Je serai curieuse de connaitre le fil de votre travail, votre méthode....

Comme vous citez vos sources, je me rends compte du temps incroyable que cela a du vous prendre de reconstruire ces histoires, les rédiger pour leur donner vie et leur donner de la vie.

Je vous ai lu avec "avidité", allant d'histoire en histoire avec impatience. 

Je concluerai en disant qu vous avez su donner dans ce livre, tout le sel de la lecture, celui qui passionne et qui ouvre l'imagination en créant mentalement les décors, les personnages , comme un film qui est projeté dans la tête, derrière les yeux qui lisent.

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