Jean-Luc Deniel

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai lu votre  "Hors la loi en bigoudénie". J'ai particulièrement aimé la manière que vous avez choisi pour aborder certains faits divers, développant ainsi la curiosité du lecteur.

Félicitation pour votre travail de recherches et la précision des détails.

 

Mathilde Pateyron

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

Je reviens vers vous, après lecture de votre ouvrage par ma fille (40 ans) et moi-même (66 ans).

Nous avons toutes deux apprécié ces récits de "crimes et forfaits", agrémentés de références généalogiques.

Ces écrits transcrivent bien la manière de vivre de cette période (1830-1916), et même peut-être après de ce que j'ai pu apprendre par la manière dont vivaient certains de nos ascendants bretons ou d'autres régions jusqu'en 19... 50 (!).
Les familles (très) nombreuses, les masures au sol en terre battue, la mortalité infantile importante, l'alcoolisme très présent.

Je pense qu'il ne faut pas le lire d'une traite comme un roman.  Plutôt, prendre chaque "histoire" comme une nouvelle.
Comme on lirait un "fait-divers" dans le journal.

Robert Gouzien

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

Comme beaucoup de bigoudens j’aimerais croire que les faits relatés par Pierrick Chuto sont anecdotiques, dans la marge, border-line en français d’aujourd’hui ; ce n’est pas le cas : comment a-t-on pu en arriver là ?

Cette façon authentique d’écrire l’histoire ouvre de nouvelles perspectives historiographiques …

Le style, comme d’habitude, est clair, net et précis. Tous les lecteurs que j’ai rencontrés ont beaucoup apprécié.

 

Paul Cornec, historien du Cap

Au sujet des Hors -la-loi en Bigoudénie

 

J'aime beaucoup. Le style est fluide et agréable ; le vocabulaire est riche, mais sait rester simple et lisible, une gageure s'agissant de récits tirés de dossiers débordant souvent de termes du jargon judiciaire.
Bref, c'est vivant et sympa à lire. Je m'étais dit "je vais lire le cas Gautier" et après on verra... Eh bien non, même si j'ai commencé par ce chapitre qui se termine à Audierne, j'ai embrayé aussitôt sur les autres avec le même plaisir.
 
Bien, les manières variées d'introduire les chapitres, sympas aussi les conclusions, où perce un sens de l'humour qui dédramatise un peu cette ambiance.
 

 

Michel Guironnet, historien, auteur sur "La Gazette"

Au sujet des Hors -la-loi en Bigoudénie

 

Autant dans les chapitres courts que dans ceux plus longs, 
vous savez « saisir » le lecteur

et il ne peut plus lâcher jusqu’au dénouement ! Beaucoup d’émotion dans la plupart de vos textes. Bravo


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