Jacques Sallé

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

Je viens de terminer votre livre. Quel souci de documentation et précision ! Un travail de fourmi !!!

Que d'histoires  qui font réfléchir sur les méfaits de l'extrême pauvreté... et  ceux de l'alcool !
J'imagine que de nombreux autres faits semblables ont eu lieu dans d'autres endroits en France à la même époque...
Mais les faits-divers actuels ne sont pas plus reluisants, souvent toujours dus à la pauvreté, mais aussi au manque de respect et de tolérance. Notre époque n'est pas meilleure, seulement différente !

Catherine Caro

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

J’ai bien reçu le livre hier et l’ai commencé sans attendre ! J’adore, merci beaucoup

Denise Celton-Junger

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

Comme vous pouvez l’imaginer, j’ai eu beaucoup de plaisir à la lecture de votre dernier livre « Hors-la-loi en Bigoudénie » ! Votre façon de faire vivre vos personnages (souvent tristes personnages) est toujours très vivante et capte le lecteur, jusqu’au dénouement.

A ce jour, deux personnes de ma généalogie ont fait les »honneurs » de la Presse et de divers ouvrages : Yves le Goaër et Yves Nicolas. Le premier est l’arrière grand-père de mon grand-père Celton, le second est le cousin de mon grand-père Celton ! Votre livre m’a apporté un autre regard sur ces personnes et je vous en remercie très sincèrement.

Jean-Luc Deniel

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai lu votre  "Hors la loi en bigoudénie". J'ai particulièrement aimé la manière que vous avez choisi pour aborder certains faits divers, développant ainsi la curiosité du lecteur.

Félicitation pour votre travail de recherches et la précision des détails.

 

Mathilde Pateyron

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

Je reviens vers vous, après lecture de votre ouvrage par ma fille (40 ans) et moi-même (66 ans).

Nous avons toutes deux apprécié ces récits de "crimes et forfaits", agrémentés de références généalogiques.

Ces écrits transcrivent bien la manière de vivre de cette période (1830-1916), et même peut-être après de ce que j'ai pu apprendre par la manière dont vivaient certains de nos ascendants bretons ou d'autres régions jusqu'en 19... 50 (!).
Les familles (très) nombreuses, les masures au sol en terre battue, la mortalité infantile importante, l'alcoolisme très présent.

Je pense qu'il ne faut pas le lire d'une traite comme un roman.  Plutôt, prendre chaque "histoire" comme une nouvelle.
Comme on lirait un "fait-divers" dans le journal.


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