Franck Boulinguez, un pro de la généalogie

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

 Merci pour cet ouvrage qui décrit le parcours de personnages savoureux.

Marcel Perennou

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

J'ai fini de lire votre livre. Vous avez une bonne manière de faire parler les morts qui racontent leurs propres histoires. C'est écrit comme un roman qui a dû demander de longues heures de recherche.
Je l'ai trouvé très agréable  à lire.
Quelques histoires m'ont particulièrement intéressées comme la tentative de parricide de Pouldreuzic. J'ai tellement entendu en parler avec pas mal de suppositions et d'interrogations, et pourtant les protagonistes n'en parlaient jamais.
Mon beau père m'a dit souvent que son père, pourtant témoin, n'en a jamais touché un mot. Ce qu'il a su de l'histoire c'est par son grand père Vigouroux, le père de sa mère.
L''histoire du moulin du Fao, j'en ai aussi entendu en parler..

Autre constat, l'instruction de l'enquête ne prenait que quelques mois alors qu'aujourd'hui c'est en années. Quand aux peines, elles étaient plutôt sévères, on n'hésitait pas à raccourcir les gens où à les envoyer visiter à Cayenne ! Ceci explique peut être les manifestations de la police qui pense qu'aujourd'hui, les juges sont laxistes et que la police ne fait plus peur à personne !!!

Annie DUBOIS

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

Je viens de terminer votre livre que j'ai beaucoup aimé.
A travers ces affaires bien documentées, nous découvrons les modes de vie en Bigoudénie à cette époque.
C'est intéressant et cela m'a permis de faire la comparaison avec la vie rurale de ma région d'origine, peu différente.

Lionel Pétard

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

Ces différents récits, j'en ai apprécié les précisions tant géographiques, historiques, et généalogiques qui ont certainement fait le bonheur de beaucoup de personnes s'intéressant comme moi à la vie de leurs ancêtres. 
 
Quant aux différents drames, ils  rapportent la dureté du quotidien de l'époque que nous aurons certainement beaucoup de difficultés à comprendre actuellement. Bien entendu le rapport à l'alcool ne devait pas améliorer les relations et pouvait entraîner dans  un acte aux conséquences irrémédiables, mais pour faire un trait  d'humour, le docteur Chambrin, n'a eu sa reconnaissance pour l'eau de Plancoët que plus tard !!!! ☺ et cela n'était pas la porte à côté  !!
Merci encore pour m'avoir apporté la possibilité de visiter la Bigoudénie et d'avoir partagé cet enthousiasme pour cette région.

Roger Queffélec

Au sujet des Hors-la-loi en Bigoudénie

 

Connaissant certains lieux Brémillec, Trébonvel…. cités dans votre livre, je n’ais pas eu de mal à m’imprégner du contexte des drames cités. Pour avoir croiser dans mes recherches généalogique le chemin de Jean Salaün qui avait tué sa belle-mère le 9 3 1886 à Rosnoen en utilisant les méthodes De Marie Jeanne Bodéré, Je constate qu’il y avait beaucoup de violence à cette époque. Cette période qui nous a précédée n’était en fait pas plus vertueuse que la notre.

Merci pour ce recueil des faits divers, celui-ci n’altère en rien l’estime que j’ai pour le peuple bigouden et au plaisir de vous relire.

Je reprendrai ce livre dans quelques mois afin de bien intégrer toutes les personnes citées.


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