Jean Magnier

Au sujet des exposés de Creac'h-Euzen

Je viens vous dire tout le plaisir et l'intérêt trouvés à la lecture de votre ouvrage.

Tant le sujet que la qualité de son approche m'ont particulièrement séduit. Quel beau travail ! Bravo !

Je vous souhaite un plein succès.

 

Catherine jacquart

Au sujet des exposés de Creac'h-Euzen

Je me suis replongée dans la lecture du nouveau « Les enfants trouvés de l’hospice de Quimper au 19ème siècle » toujours aussi passionnant, émouvant et agrémenté de nouvelles photos et compléments d’informations.

En espérant que vous trouverez encore d’autres nouvelles à nous faire partager sur l’histoire de nos ancêtres en Cornouaille

 

Annie Dubois

Au sujet des exposés de Creac'h-Euzen

Tout d'abord, je vous félicite pour le travail de fourmi accompli pour sa réalisation. J'ai beaucoup apprécié ce livre car j'ai appris plein de choses sur le fonctionnement du tour d'abandon et l'organisation mise en place à la suite.
Que de malheurs sont passés par cet hospice de Quimper ! Il en est de même pour les autres hospices je pense.
Et il est très intéressant aussi de suivre jusqu'à leur mort les enfants abandonnés.
Ce livre est très facile et agréable à lire et il devrait permettre, je l'espère, à ceux qui ont perdu de l'humilité d'en regagner. Personnellement, il m'a confortée dans le sentiment que j'ai eu une enfance heureuse comparée à ces petits êtres sans défenses.

Merci Monsieur Chuto !

Gilbert Tolen

Au sujet des exposés de Creac'h-Euzen

Je suis ravi d'avoir fait l'acquisition de la nouvelle édition de "les exposés de Creac'h-Euzen". Je suis captivé par sa lecture. C'est vraiment un immense travail de recherches, d'écriture que vous avez réalisé.
Je n'ai pas encore terminé de l'explorer, c'est une véritable mine d'informations.
Bravo pour ce travail !

 

Marcelle Bonnaud

Au sujet des exposés de Creac'h-Euzen

Je le trouve passionnant et j'admire votre travail. Le sujet m'intéressait car dans ma généalogie, j'ai une aïeule (née en 1818 en Franche Comté) enfant trouvée. Le procès verbal de son enregistrement en mairie est, comme dans votre livre,  riche de détails, autant dans les circonstances de sa découverte que dans le descriptif de sa tenue. Par contre, elle n'a jamais eu de nom ! Son acte de mariage en 1847 la mentionne comme "Catherine sans nom". Je continue mes recherches, savoir quelles furent ses conditions de vie jusqu'à son mariage.

Merci encore pour ces témoignages d'une époque pas si lointaine.

 


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